Nos engagements / RSE

Les maisons de Marianne s’engagent dans le cadre de sa stratégie RSE autour de deux piliers :

Développer des lieux à haute qualité d’usage

Accompagner les occupants vers un usage durable

Focus sur les réalisations

 

S’engager pour la cohésion sociale

Chaque résidence porte un projet social et solidaire adapté aux besoins de ses habitants, et notamment des personnes les plus fragiles.

Ces lieux de vie, axés sur l’humain, permettent le développement du lien entre les habitants, le renforcement du bien vivre ensemble, l’accompagnement au bien vieillir chez soi, la lutte contre l’isolement… et apportent une réponse aux problématiques du vieillissement, de la perte d’autonomie et de l’inclusion des personnes en situation de handicap.

Un coordinateur salarié aide les résidents à entretenir la convivialité, à se sentir utiles aux autres et à s’entraider. Pour créer du lien sont proposés des ateliers ou des animations hebdomadaires : activités artistiques, de bien-être, physiques, ainsi que des sorties culturelles, des repas ou du jardinage partagé. Toutes ces actions sont proposées aux locataires, en synergie avec les services de la commune, les associations locales et le bailleur social, propriétaire des murs.

87 % des résidents se sont déclarés satisfaits des Maisons de Marianne

Selon l’enquête réalisée en mai 2021 auprès de 25 résidences et de 25% des résidents.

Plus en détails :

87% apprécient la qualité de vie dans les logements et 80% la qualité de vie dans la résidence, en particulier les femmes et les résidents de plus de 70 ans avec un impact potentiel sur leur épanouissement relationnel.

Ayant eu à 85% un contact avec l’animateur, ils le jugent : aimable, professionnel, à l’écoute et disponible. Sur toutes les composantes de son métier, les taux de « très satisfait » oscillent entre 93% et 99%. Les personnes qui ont bénéficié d’une visite de courtoisie sont très satisfaites (98%). Les espaces partagés sont de même très bien perçus avec des scores de 93% et de 90%, respectivement sur le confort et les équipements et sur la facilité d’accès. Les activités recueillent une évaluation très positive quant à leur qualité et leur diversité.

Enfin, 74% des sondés affirment que le concept Les Maisons de Marianne permet de bien vieillir chez soi, 72% que les résidences facilitent les relations avec les autres résidents et 66% qu’elles favorisent l’entraide entre eux.

Les Maisons de Marianne et EDF : un partenariat pour lutter contre la précarité énergétique

En octobre 2021, Marianne Développement a signé une convention avec EDF, marquant une nouvelle avancée dans les engagements de groupe en faveur de l’environnement et de l’usage durable des lieux de vie.

L’objectif de ce partenariat est en effet de réaliser des campagnes de prévention en sensibilisant les résidents aux gestes verts, aux économies d’énergie et de lutter contre la précarité énergétique.

Proches des résidents, les équipes des Maisons de Marianne les aideront à mieux maîtriser leurs factures, à connaître les dispositifs d’aides et serviront d’intermédiaires afin que les personnes en situation de fragilité financière puissent bénéficier du chèque énergie et ainsi préserver leur reste à vivre.

Enquête sur la prise en compte des problématiques de dépendance et de perte d'autonomie dans le domaine de l'habitat.

Les Maisons de Marianne sollicitent l’institut OpinionWay pour interroger les Français, l’étude est réalisée auprès d’un panel de 1002 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans ou plus. Étude et analyse des résultats réalisés entre novembre 2021 et juin 2022.

Principaux enseignements :

 
Trois Français sur quatre estiment que le vieillissement, la perte d’autonomie et le handicap devraient être des enjeux majeurs de la campagne présidentielle
76% des répondants souhaitent que les politiques s’emparent des enjeux de l’adaptation des logements aux personnes âgées, en perte d’autonomie (75%) et en situation de handicap (74%). Une préoccupation partagée par un grand nombre d’élus locaux, réunis au sein de l’Union nationale des centres communaux d‘action sociale (Unccas) regroupant près de 8.800 communes, qui s’alarment de l’abandon de la loi Grand âge et autonomie et appellent à la mobilisation pour développer des solutions alternatives permettant de favoriser le maintien à domicile.
Pour trois quarts des Français, le regroupement de personnes âgées dans des établissements d'hébergement représente un risque d'exclusion de la société, de prise en charge inadaptée et de souffrance des résidents.
« Être vieux » : un état de dépendance, plus qu’une question d’âge Un regard globalement positif sur l’avancée en âge, aussi bien celle de leurs proches (69%) que la leur (67%). Des disparités sont cependant à relever, les femmes ayant une représentation plus sévère que les hommes sur le sujet. La perception positive du vieillissement est plus marquée chez les principaux intéressés (80% chez les 65 ans et +) que chez les plus jeunes et particulièrement les 35-49 ans (61%).

« Vieillir, c’est vivre ! ». Pour retarder la survenue de la dépendance, trois facteurs prioritaires se dégagent desquels la liberté de vivre comme chacun l’entend (47%). L’importance du lien social, par la création d’interactions régulières avec des amis, la famille ou à travers de nouvelles rencontres (46%), ainsi que la pratique d’activités culturelles, manuelles ou sportives (44%)

« Un entre soi jugé délétère ». Trois quarts des Français (77%) pensent que le regroupement de personnes âgées dans des établissements d'hébergement représente un risque d'exclusion de la société, de prise en charge inadaptée et de souffrance des résidents. Le principal critère de choix d’un hébergement adapté au vieillissement repose assez naturellement sur son coût (67%). Mais ce n’est pas le seul car la possibilité de recevoir des visiteurs quand on le souhaite est également importante pour 61% des répondants. Viennent ensuite le cadre de vie et une localisation en centre-ville (50%), la fonctionnalité du logement et de ses équipements pour une meilleure autonomie (44%) ainsi que la proximité avec l’entourage familial (38%).
Les seniors et le logement : une volonté de garder leur pleine capacité à vivre en société, même dépendants.
Plus de 85% des seniors veulent pouvoir vieillir chez eux, mais dans quel cadre souhaitent-ils vivre ? Près de 7 seniors sur 10 s’orienteraient idéalement vers les résidences services et l’habitat intergénérationnel, très loin devant les maisons de retraites médicalisées de type Ehpad, mode d’hébergement qui n’est privilégié que par 15% de la population de plus de 50 ans.

Vieillir dans un environnement favorisant la mixité entre les générations est plébiscité par la quasi-unanimité des 50 ans et plus (95%), de même que les structures favorisant l’accueil de personnes aussi bien autonomes que dépendantes (93%). Une préférence particulièrement prononcée puisqu’ils sont 85% à se positionner contre l’idée de vivre exclusivement entre personnes dépendantes. Finalement, les seniors expriment le souhait de pouvoir continuer à vivre normalement chez eux, sans avoir le sentiment d’être exclus de la société, sachant qu’ils sont plus de 9 sur 10 à considérer le sentiment d’isolement et de solitude comme un accélérateur de vieillissement.
Diapositive précédente
Diapositive suivante

Notre conviction est que l’usage de l’immobilier doit s’adapter dans une recherche de qualité, de mixité, de frugalité et de durabilité. Cette stratégie est en lien avec les engagements du groupe ATLAND en termes de responsabilité sociétale et de mécénat.